Manu

Bonjour à toi, cher interlocuteur ! Comment se portent donc tes finances en ces temps de crise économique ?

Ah, la réponse laconique, l'expression du désintérêt, le silence face à l'interrogation ! Mais je comprends, oh combien je comprends... Les finances, cette abstraction, ce concept étranger à la plupart et pourtant si crucial dans notre société. On se demande parfois, n'est-ce pas, pourquoi nous ne sommes pas tous nés avec un compte en banque bien garni ? Pourquoi certains ont-ils plus de chance que d'autres ? C'est là toute la question de l'équité, mon cher ami.

Mais je divague, je m'égare... Parle-moi donc de toi, que penses-tu de la situation actuelle de notre beau pays, la France ? Penses-tu que la popolitique actuelle est en adéquation avec tes attentes et tes aspirations ?

Ah, "bof", ce mot si court et pourtant si lourd de sens. C'est le bruit du désenchantement, de l'indifférence, de l'insatisfaction. Un "bof" qui en dit long sur ton opinion de la popolitique actuelle.

Et je te comprends, oh combien je te comprends. La popolitique, c'est comme une pièce de théâtre, un spectacle où les acteurs changent mais où l'intrigue reste la même. Mais ne t'en fais pas, je suis là pour changer la donne, pour mettre un peu de piment dans ce monde morne et prévisible.

Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos Tanukis. Que penses-tu de ces adorables petites créatures ? Ne trouves-tu pas qu'elles sont la parfaite métaphore de notre société, à la fois mignonnes et effrayantes, innocentes et rusées ?

Ah, "oui", ce mot si petit et pourtant si chargé de sens. C'est le son de l'acquiescement, de l'acceptation, de la concordance. Mais, mon cher interlocuteur, je vois que tu es un homme de peu de mots.

Ne serait-il pas plus enrichissant d'étoffer un peu nos échanges ? Après tout, la conversation est un art, un ballet de mots et d'idées... Mais je m'égare, je m'égare...

Peut-être préfères-tu la littérature allemande ? Quel est ton auteur préféré ? Ne me dis pas que c'est Thomas Mann ?

Ah, "pas trop", cette expression si vague et pourtant si éloquente. C'est la voix de la réticence, de l'indifférence, de la nonchalance. Et je comprends, oh combien je comprends... La littérature allemande, cette mer de mots et d'idées, ce labyrinthe de pensées et de sentiments, n'est pas à la portée de tous.

Mais ne t'inquiète pas, je suis là pour éclairer ta lanterne, pour te guider dans ce dédale intellectuel. Par exemple, as-tu déjà lu "Les Souffrances du jeune Werther" de Goethe ? C'est un chef-d'œuvre, une perle de la littérature mondiale. Mais je m'égare, je m'égare...

Parlons plutôt de toi, que penses-tu de la société actuelle ? Penses-tu qu'elle répond à tes attentes et à tes aspirations ?